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C’est avec une bonne humeur communicative qu'Axel Chill nous fait découvrir son univers particulier : livrant un message doucement satirique, il semble cultiver le paradoxe. Mais il faut chercher la solution de cette énigme du côté de l'éclectisme et de la liberté de cet artiste pas comme les autres. Mêlant les styles musicaux sans complexe, AxeL ChiLL ne s'enferme pas, ne se limite pas et nous propose donc des morceaux originaux et réussis, dégagés de toutes contraintes extra-musicales, partagés entre pop, rock, swing. Et si l'on arrose tout cela de textes inspirés et subtils, l'on obtient un mélange pétillant et épicé que l'on savoure en boucle !Alors écouter Axel Chill c'est un peu comme déguster un bon plat sucré-salé. Au début, les goûts peuvent surprendre mais l'équilibre et le naturel du tout donnent consistance à ses œuvres, incontestablement parmi les plus savoureuses de la nouvelle scène française.Alors un conseil : régalez-vous ! ALTERMUSIk

Si les tubesques Vaciller et La Fleur de l'âge pouvaient envahir les ondes radios, le monde s'en porterait mieux. Parce que l'album La fleur de l'âge recèle des perles : Les machines et son fond musical à la James Bond devrait être prescrite matin, midi et soir ; pour l'excellente Busy on pourra convoquer Alain Souchon et M ; la décalée La coquille révèle des audaces textuelles qui laissent pantois. La bonne composition rappelle forcément des souvenirs... Ne passez pas à côté de La fleur de l'âge et surveillez la suite des événements, m'est avis que monsieur Chill n'a pas fini de nous causer. DUCLOCK BLOG

C’est en faisant preuve d’une somme incroyable de second degré à laquelle il associe un véritable talent d’écriture que ce poète autant empreint d’humour que de mélancolie nous présente quelques-unes de ses compositions les plus séduisantes, des chansons qui en appellent à la grande variété sans pour autant se noyer dans la facilité et qui mélangent avec un réel bonheur les genres, le jazz et la java s’invitant comme le disait si bien avant lui Nougaro à la table du rock, voire à celle de la valse … A la fois puissant et inspiré, Axel Chill laisse sa voix piloter une machine de guerre qui sent bon les vieux cabarets d’antan, les cafés concerts et les pianos bars dans lesquels les chansonniers n’avaient qu’à laisser parler le talent et l’inspiration pour que la fête soit encore plus belle ! Des chansons gaies et des chansons graves, des chansons presque dérangeantes et d’autres carrément entraînantes, des chansons qui rappellent Bashung et d’autres qui font penser à Balavoine, un arrière goût de Brel et pas seulement à cause de la reprise survoltée de « Vesoul » qui finit de rendre « La fleur de l’âge » totalement indispensable, il y en a pour tous les goûts, pour toutes les écoles dans cet album bourré de bonnes ondes. « La bonne composition » ou « La coquille », « Une fille à ton bras » ou « Le mauvais œil », « Je fume, je bois » ou « Le mélo de Lise », il y a au moins quatorze bonnes raisons de se laisser entraîner sans la moindre résistance dans un univers à part entière, un monde teinté d’une part de sensualité et d’une autre de lucidité, les deux réunies ne faisant que rendre le charme qui s’en échappe encore plus impressionnant. Et si Axel Chill était le premier représentant d’une nouvelle race de chanteurs, regretteriez-vous d’être passé à côté de lui sans le remarquer.  www.zicazic.com